Chapitre 2282
De tout temps, ce que Denise désirait le plus au monde, c’était qu’un jour, ses parents puissent la comprendre, mais elle ne s’attendait pas à ce que ce désir se réalise en ce
moment!
En pensant à cela, Denise, si touchée, avait même envie de pleurer. Et pour éviter que ses parents lui remarquent les yeux rougis de pleurs, elle s’est empressée de dire :
Papa, maman, attendez un peu, je vais faire les formalités de la sortie de l’hôpital, et après ça, nous rentrerons à la maison !
En ce moment, Édmond et Clovis ont déjà emmené Walter et ses hommes dans le
chenil de Clovis.
Ce chenil servait non seulement à élever des chiens, mais aussi à dissimuler des activités clandestines de Clovis. Donc à l’époque, Clovis avait mis beaucoup d’énergie pour construire ce chenil.
Pour passer inaperçu, Clovis a non seulement situé le chenil en banlieue, mais il a aussi loué toutes les terres cultivées autour du chenil sous le nom d’une société de
technologie agricole.
D’ailleurs, par mesure de précaution, il a spécialement chargé quelques hommes, qui avaient de l’expérience dans la culture, de s’occuper de ces terres.
En plus de la haute surveillance de l’extérieur, Clovis a aussi mis en place des installations spéciales pour la sécurité intérieure.
Vue de l’extérieur, l’enceinte du chenil n’était pas élevée et n’avait rien de particulier. Mais à l’intérieur, s’étalait un réseau électrique à haute tension d’un mètre de large.
Donc sous ce réseau électrique à haute tension, ceux qui étaient enfermés ici, n’avaient pas du tout la chance d’escalader l’enceinte vivants!
En ce moment, devant Clovis, il y avait quelques cages de fer soudées avec des barres d’armature.
Chaque cage de fer avait une grille fixée par une serrure mécanique, une serrure à empreintes digitale et une serrure électromagnétique à distance.
De ce fait, que ce soit un chien extrêmement agressif ou un as des arts martiaux, il n’avait pas la possibilité de s’échapper une fois enfermé dans une telle cage de fer. Les hommes de Walter étaient tous placés dans une cage de fer, et Walter se logeait seul dans une autre cage de fer qui était connecté à un équipement spécial pour la
dialyse.
Walter a crié désespérément :
– Vous ne pouvez pas me traiter ainsi, je suis le fils aîné des Horowitz et le parent des Rothschild!
Entendant cela, un homme habillé de noir a pris Walter par le collier et a grondé froidement :
– Putain ! Qui que tu sois, tu dois rester ici docilement !
—
À ces mots, malgré les luttes violentes de Walter, l’homme a directement ouvert la bouche de Walter avec force et lui a versé une bouteille de liquide dans la bouche. Puis il a couvert fermement la bouche de Walter jusqu’à que ce dernier ait avalé toute la liquide.
Walter a toussé un peu et a demandé, horrifié :
– Qu’est–ce que tu m’as donné à boire ?!
Édmond, qui se tenait à côté, a dit en ricanant:
– T’aimes pas empoisonner les autres au dichlorure de mercure ? Mais tu ne peux pas le sentir?