Chapitre 2260
Clément a ri:
– Ce n’est pas grave, si cela cause des dommages financiers, je vous rembourseral, j’ai Fargent.
Walter cherchait encore une excuse pour refuser, mais Clément a déjà braqué la
caméra du téléphone sur lui.
C’était vrai que la fonction de reconnaissance faciale du téléphone fonctionnait bien.
Même avec les joues gonflées de Walter, le téléphone s’est déverrouillé.
La langue du téléphone de Walter était l’anglais, mais cela ne posait aucun problème à
Clément.
Bien qu’il ne soit pas allé à l’université, il avait reçu une éducation internationale de haut niveau pendant son enfance et avait grandi dans un environnement multilingue.
La mère de Clément avait grandi aux États-Unis et l’anglais était l’une de ses langues maternelles. Elle parlait couramment l’anglais et le français, ainsi que le japonais et
l’espagnol.
Dans le Pays C, très peu de personnes parlaient plusieurs langues, principalement. parce que le Pays C lui-même n’était pas un pays d’immigration et que la majorité des gens parlaient français.
Ce n’était pas le cas aux États-Unis.
Les États-Unis sont un pays d’immigration et il y a beaucoup d’Européens anglophones et, en raison de la proximité du Mexique, beaucoup d’hispanophones.
En outre, un grand nombre d’immigrants venant du Japon, de la Corée, du Viêt Nam, de l’Allemagne et de l’Italie aux États-Unis au cours des deux cents dernières années.
En vivant dans un tel environnement, sa mère pouvait être exposée à des cultures et des langues venant du monde entier.
Clément a donc reçu une bonne formation linguistique dès son plus jeune âge.
La première chose que faisait Clément lorsqu’il a allumé le téléphone portable de Walter était de lire ses SMS.
Ils étaient tous en anglais, mais il les lisait facilement.
Walter lui a dit en panique :
-Vous ne pouvez pas lire mes messages, c’est illégal ! C’est illégal !
Clément a feuilleté les messages et a dit froidement :
Tais-toi ou je te casse aussi l’autre main !
Walter se sentait terrifié.
Il ne savait plus quoi faire.
O
Clément trouverait sûrement dans les historiques de discussion la preuve qu’il avait fait empoisonner le père de Denise;
Il regrette en se disant :
<< Pourquoi suis-je venu à l’hôpital à cette heure-ci, si je n’étais pas venu, je ne serais peut-être pas tombé sur ce salaud! Je ne serais pas tombé sur ce salaud et pas été torturé aussi gravement !»
n’aurais
<< S’il trouve des preuves que j’ai ordonné à quelqu’un d’empoisonner le père de Denise, alors je serai complètement fini ! La police du Pays C m’accusera certainement d’homicide volontaire…>>>
<< Ne serais-je pas alors en prison au Pays C ?! Mais non !»