Chapitre 2247
Denise écoutait Amadou et poursuivait précipitamment la question:
– M. Amadou, est-il possible que mon père ait été empoisonné par hasard ?
– Je n’en suis pas sûr.
Amadou a expliqué sérieusement,
—
Nous avons si peu de preuves et d’indices pour le moment et il n’y a pas de pistes utiles pour nous aider à déterminer la direction à enquêter pour le moment.
A ces mots, Amadou a repris la parole et a demandé :
—
Mme Denise, votre père est-il disponible pour être interrogé maintenant ? Si c’est le cas, nous pourrons peut-être obtenir des informations plus utiles.
Denise a secoué la tête et a dit :
Mon père est dans un coma profond…
Amadou a dit :
–
Et pourquoi pas ça ? Vous venez de dire que votre père n’a pratiquement pas quitté
la maison avant de tomber malade, et maintenant il semble qu’il ait été empoisonné
par voie orale, pouvons-nous aller chez vous pour recueillir des indices?
–
– Avec l’arrivée de nos enquêteurs professionnels, ils trouveraient peut-être quelque chose d’utile et important.
Denise a répondu :
– Pas de problème ! Vous pourriez venir n’importe quand!
Amadou a dit immédiatement:
C’est urgent, si possible, allons-y tout de suite!
Denise a dit :
– Pas de problème ! Alors je vous y emmène tout de suite.
Denise a regardé le Docteur Loffert et a dit d’un ton suppliant:
Docteur Loffert, ma mère est anxieuse depuis quelques jours, vous ne devriez pas lui en parler.
Docteur Loffert a acquiescé et a dit :
– Mme Denise, ne vous inquiétez pas, je garderai le secret pour vous.
– D’accord, merci!
Denise a regardé Amadou et a dit :
– M. Amadou, nous partons pour allez à ma maison maintenant ?
– Bien.
Amadou a acquiescé.
Quinze minutes plus tard.
O
Denise est revenue la villa de sa famille, à la tête des policiers et des enquêteurs.
La famille de Denise était très riche, ses parents et elle-même gagnaient beaucoup d’argent, et leur famille possédait une villa de plus de trois cents pieds carrés avec une cour et trois étages à la Cité J.
À en juger par le mobilier et la décoration de la maison, ils devaient être très soucieux de la qualité de vie.
Les agents ont enfilé les couvre-chaussures et les gants et ont utilisé divers instruments professionnels pour effectuer une reconnaissance de leur domicile. Denise, à ce stade, pensait à l’empoisonnement de son père et a oublié son rendez-vous avec Clément.
Elle voulait maintenant savoir quelle était la cause de l’empoisonnement de son père, s’il s’agissait d’un accident ou si quelqu’un l’a empoisonné par malveillance!
–
En ce moment, chez Joël.
C’était l’heure du dîner et Denise n’est pas encore arrivée, alors Joël s’approchait de Clément et lui a demandé à voix basse :
– Maître Clément, Denise n’est pas encore là, vous pensez qu’il faut commencer le banquet ou l’attendre?
Clément s’est dit que si Denise n’est pas venue, c’était qu’elle aurait quelque chose d’urgent à faire. Il n’avait pas besoin de la presser, et s’il l’appelait à ce moment-là, même si son intention n’était pas de la presser, cela lui mettrait certainement la pression et ce serait inapproprié au cas où cela l’empêcherait de s’occuper d’affaires importantes.