Chapitre 2217
A l’unité d’hospitalisation de l’Hôpital du peuple de la Cité J.
En tant que meilleur hôpital général de la Cité J, il était toujours plein de monde.
Aucun des lits n’était vide à aucun moment.
Il y avait même de nombreux patients qui faisaient encore la queue pour être soignés.
Dans le service de soins intensifs du département de néphrologie, un homme d’une cinquantaine d’années se trouvait dans un lit, couvert de tubes.
À côté du lit, une femme d’âge moyen, qui ressemblait un peu à Denise, était assise.
À l’extérieur se trouvait une petite salle de réunion et un salon. Après tout, il s’agissait du meilleur service de soins intensifs de l’hôpital et l’aménagement ressemblait beaucoup à celui d’une suite d’hôtel.
Deux jeunes hommes se tenaient dans le salon.
L’un était Denise, vice-présidente du Groupe Roi, et l’autre était un homme blanc au nez aquilin et avec les cheveux blonds.
Denise venait de raccrocher le téléphone et l’homme a dit à Denise avec un accent
anglais :
La maladie de ton père ne peut plus être retardée, la loi du Pays C interdit la vente d’organes et maintenant, personne d’autre que moi ne peut trouver un donneur convenable pour l’oncle.
Denise l’a supplié :
– Walter, je te prie, pour notre amitié, de m’aider à trouver un rein convenable en contactant des hôpitaux aux États-Unis, je suis prête à payer le double de l’argent, le reste sera ton paiement, d’accord?
L’homme appelé Walter a reniflé,
Denise, tu ne penses pas que je me suis donné tout ce mal juste pour gagner ce petit peu d’argent de ta part, n’est-ce pas ?
Il a dit sérieusement:
-Denise, je t’aime bien depuis longtemps, mais avant que je ne reprenne l’entreprise familiale et que je ne sois pas encore indépendant financièrement, ma famille ne m’aurait pas permis de poursuivre une femme étrangère, alors j’ai eu peur de te le dire directement.
Mais maintenant que je suis marié et que je viens d’être nommé responsable de
l’entreprise familiale au Pays C, ma famille n’interférera plus dans ma vie !
D’ailleurs, notre entreprise a décidé d’entrer sur le marché du Pays C et j’y resterai au moins dix ans…
Denise a froncé les sourcils et lui a demandé :
– Walter, qu’est-ce que tu veut dire exactement ?
Walter s’est couvert la poitrine et a fait semblant d’avoir le cœur brisé :
—
Denise, comme je me sentirais seul et isolé si je ne pouvais pas t’avoir…
Deni a dit froidement :
– Walter, comme nous étions camarades de classe, veuille faire peuvre de respert!
Walter a souri d’un air coquet et a dit :
– Désolé, j’aime être direct!