HOMME INACCESSIBLE Chapitre 2285

Chapitre 2285 
Très vite, le dichlorure de mercure a commencé à agir dans le corps de Walter, et Walter éprouvait un malaise de plus en plus intense. 
Évidemment, ses reins étaient en train de se détériorer en vitesse ! 
Ce n’était qu’à ce moment que Walter s’est réellement rendu compte qu’il était en grande difficulté. 
Depuis toujours, il croyait qu’en tant que jeune maître de la famille Horowitz, il pouvait faire tout ce qu’il voulait. 
Après tout, la plupart des gens lui semblaient humbles avec la fortune familiale de 10 
milliards d’euros. 
Quand il était aux États–Unis, il ne cessait aussi de créer des ennuis. Même s’il avait commis un meurtre, il était facilement arrivé à régler le différend avec quelques millions d’euros. 
Si c’était aux États–Unis qu’il avait empoisonné Béril, une fois son complot déjoué, il n’aurait eu qu’à dépenser des centaines de milliers d’euros pour trouver un bouc émissaire idéal. 
Mais malheureusement, cette fois–ci, il a provoqué un grave trouble qu’il ne parviendrait pas à résoudre avec l’argent, parce qu’il a offensé Clément ! 
En seulement quelques heures, Walter est passé d’un jeune homme robuste à un malade en phase terminale qui était déjà incapable de bouger et ne cessait de crier de douleur par terre. 
Le médecin, qu’a fait venir Édmond, surveillait toujours l’état physique de Walter et toutes les demi–heures, il mesurait le taux de créatinine de Walter. 
Une demi–heure après que Walter avait pris le dichlorure de mercure, son taux de créatinine est passé de 75 à 1500, ce qui signifiait que les reins de Walter ont déjà été complètement détruits. 
À ce moment, le médecin a commencé à dialyser Walter. 
La dialyse était un traitement médical permettant de débarrasser le sang d’un malade atteint d’insuffisance rénale de ses déchets toxiques. 
Donc maintenant, bien que Walter ait les reins détruits, la dialyse lui permettait quand même de survivre. 
Néanmoins, à partir d’aujourd’hui, il ne pourrait jamais plus se détacher de la dialyse dans toute sa vie. 
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En ce moment, à New York, aux États–Unis. 
Dans un gratte–ciel de Manhattan, un homme blanc d’une cinquantaine d’années était en train de faire les cent pas dans son bureau, dévoré d’anxiété. 
C’était le père de Walter, Steve Horowitz. 
Il était déjà trois heures de l’après–midi à New York, mais Steve n’arrivait pas à joindre Walter depuis neuf heures du matin. Bien sûr, il a aussi cherché à prendre contact avec l’entourage de Walter, mais en vain. 
Les quelques dirigeants de la famille Horowitz qui ont suivi Walter à la Cité J restaient toujours en contact avec Steve, mais ils ne savaient absolument pas où Walter était allé le soir. 
Pour trouver Walter, les dirigeants se sont hâtés d’appeler la police de la Cité J, mais la police n’a trouvé aucune trace de Walter. 
Walter semblait avoir complètement disparu dans ce monde. 
Steve savait d’instinct que quelque chose n’allait pas et il a aussitôt ordonné à son 
assistant: 
– Achète–moi aussitôt le billet pour le Pays C! 
– 
Le lendemain matin, tout se passait comme à l’accoutumée.

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